KaÏka a beaucoup exploré ce métier, de ses grandes avenues lumineuses où le pire et le meilleur se produisent dans la plus grande indifférence touristique, aux petites ruelles avec leurs réverbères clignotants, désertes jusqu’à l’angle de la prochaine où des ombres inquiétantes font accélérer le pas ou vous cloue sur place.
Dans l’une ou l’autre de ces ambiances, sa musique ...